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We Were Children

Date: 
Sunday, 5 June, 2022 - 17:30
Genre: 
film
Type: 
documentary
Tickets: 
free entry

We Were Children, dir. Tim Wolochatiuk, 2012, 83 min, version EN, subtitles FR, documentary, written by Jason Sherman, produced by Kyle Irving for Eagle Vision Inc. And David Christensen for the National Film Board of Canada (NFBC.)

As young children, Lyna and Glen were placed in church run boarding schools. The trauma of this experience was made worse by years of untold physical, sexual and emotional abuse, the effects of which persist in their adult lives. In this emotional film, the profound impact of the Canadian government's residential school system is conveyed unflinchingly through the eyes of two children who were forced to face hardships beyond their years. We Were Children gives voice to a national tragedy and demonstrates the incrdedible resilience of the human spirit.

For over 130 years till 1996, more than 100,000 of Canada's First Nations children were legally required to attend government-funded schools run by various Christian faiths. There were 80 of these 'residential schools' across the country. Most children were sent to faraway schools that separated them from their families and traditional land. These children endured brutality, physical hardship, mental degradation, and the complete erasure of their culture. The schools were part of a wider program of assimilation designed to integrate the native population into 'Canadian society.' These schools were established with the express purpose 'To kill the Indian in the child.' Told through their own voices, 'We Were Children' is the shocking true story of two such children: Glen Anaquod and Lyna Hart. [EV Staff]

This documentary film takes a look at residential schools, a series of controversial institutions established in Canada and operating until 1996, which took Native American children away from their families to be stripped of their cultural identity and the effect it had across the generations. [Tom Daly]

Within Canada's history up until the end of the twentieth century, it was government policy for indigenous children to attend boarding aka residential schools run by various denominations of the Christian faith. The policy was designed to assimilate indigenous children into western culture purportedly to give them the opportunity for a better future, the inherent assumption being that western society was superior and what may have been said behind closed door of those in authority that the indigenous peoples were dirty (in all contexts of that word) savages, their culture which should be wiped off the face of the earth. Some indigenous parents welcomed the move in believing the inherent assumption, especially that the children would be getting an education, but in cases where parents did not want to send their children, the children were forcibly taken. Many if not most of the children ended up facing abuse at the hands of the people in authority at the schools, both emotional and physical, the latter including sexual. Many children ended up dying while in "custody" sometimes due to the poor conditions at the schools (i.e. in the spread of such diseases as tuberculosis), they being buried in unmarked graves on site with their parents and/or other family never knowing what happened to them. Because of that abuse, many of the children grew into adults with substance abuses as means to cope, while others committed suicide. Two of the residential school "survivors", Lyna Hart and Glen Anaquod, who attended schools in Manitoba and Saskatchewan respectively in the late 1950s and early 1960s - the height of the policy in what is often coined the residential school "sweep" - recount their residential school experiences as those experiences are concurrently dramatized. [Huggo]

Très jeunes, Lyna et Glen sont retirés de leur foyer et placés dans des pensionnats dirigés par le clergé. Au traumatisme de cette expérience s’ajoutent des années de violence dont les conséquences marquent encore leur vie d’adultes. Témoignant de l’incroyable résilience de l’esprit humain, ce long métrage de fiction lève le voile sur le douloureux héritage du système des pensionnats indiens, qu’évoquent avec courage deux enfants soumis bien avant l’heure aux vicissitudes de la vie.

Pendant plus de 130 ans, jusqu'en 1996, plus de 100 000 enfants des Premières nations du Canada étaient légalement tenus de fréquenter des écoles financées par le gouvernement et dirigées par diverses confessions chrétiennes. Il y avait 80 de ces « écoles résidentielles » à travers le pays. La plupart des enfants étaient envoyés dans des écoles éloignées qui les séparaient de leurs familles et de leurs terres traditionnelles. Ces enfants ont enduré la brutalité, les épreuves physiques, la dégradation mentale et l'effacement complet de leur culture. Les écoles faisaient partie d'un vaste programme d'assimilation conçu pour intégrer la population autochtone dans la « société canadienne ». Ces écoles ont été créées dans le but exprès de « tuer l'Indien dans l'enfant ». Raconté par leurs propres voix, "We Were Children" est l'histoire vraie et choquante de deux de ces enfants : Glen Anaquod et Lyna Hart. [Personnel EV]

Ce film documentaire se penche sur les pensionnats, une série d'institutions controversées établies au Canada et en activité jusqu'en 1996, qui ont éloigné les enfants amérindiens de leur famille pour les priver de leur identité culturelle et de l'effet qu'elle a eu sur les générations. [Tom Daly]

Dans l'histoire du Canada jusqu'à la fin du XXe siècle, la politique gouvernementale voulait que les enfants autochtones fréquentent des internats, c'est-à-dire des pensionnats dirigés par diverses confessions chrétiennes. La politique a été conçue pour assimiler les enfants autochtones à la culture occidentale prétendument pour leur donner la possibilité d'un avenir meilleur, l'hypothèse inhérente étant que la société occidentale était supérieure et ce qui a pu être dit à huis clos par les autorités que les peuples autochtones étaient sales (dans tous les contextes de ce mot) sauvages, leur culture qui devrait être effacée de la surface de la terre. Certains parents autochtones ont accueilli favorablement la décision en croyant à l'hypothèse inhérente, en particulier que les enfants recevraient une éducation, mais dans les cas où les parents ne voulaient pas envoyer leurs enfants, les enfants étaient emmenés de force. Beaucoup sinon la plupart des enfants ont fini par subir des abus de la part des personnes en autorité dans les écoles, à la fois émotionnels et physiques, ces derniers y compris sexuels. De nombreux enfants ont fini par mourir alors qu'ils étaient en "détention", parfois en raison des mauvaises conditions dans les écoles (c'est-à-dire de la propagation de maladies telles que la tuberculose), ils ont été enterrés dans des tombes anonymes sur place avec leurs parents et/ou une autre famille ne sachant jamais quoi leur est arrivé. En raison de cet abus, de nombreux enfants sont devenus des adultes avec des abus de substances comme moyen de faire face, tandis que d'autres se sont suicidés. Deux des « survivants » des pensionnats indiens, Lyna Hart et Glen Anaquod, qui ont fréquenté des écoles au Manitoba et en Saskatchewan respectivement à la fin des années 1950 et au début des années 1960 - l'apogée de la politique dans ce qu'on appelle souvent le « ratissage » des pensionnats - racontent leur les expériences des pensionnats car ces expériences sont simultanément dramatisées. [Huggo]

Partners: 
Viart asbl, Ministère de la Culture, Ministère de l'Économie, WOXX